- d’abord l’interrupteur du poste
étant ouvert,
- puis l’interrupteur du poste étant fermé.
Cette
résistance doit être infinie dans le premier cas, comprise
entre 30 et 100 Ohms dans le second. S’il en est bien ainsi, vous
pouvez passer à l’étape 2, sinon, procédez comme
suit :
- (a) là
où le cordon secteur quitte le châssis, en particulier
s’il y a un nœud à cet endroit pour empêcher le fil de
glisser
à travers le trou,
- (b) là où le câble entre
dans la prise secteur.
Si vous pouvez
accéder à la plaque
avec les branchements de différentes tensions sur le
transformateur d’alimentation, vérifier la résistance de
chaque côté des conducteurs aboutissant aux broches. Ne
négligez pas le dispositif de connexion au réseau quand
il s’agit :
- soit d’un simple cavalier placé dans diverses prises,
- soit d’un système à vis ou, plus important, d’une
petite
fiche à deux broches insérée dans un jeu de
fiches. Les deux broches sont reliées par un conducteur qui peut
sembler en parfaite condition et qui, pourtant, pour une raison
quelconque, est déconnecté. La solution est alors de
souder une boucle conductrice entre les deux broches.
Une
défaillance beaucoup plus rare, et de ce fait plus perturbante,
c’est quand les extrémités rivetées d’un
porte-fusible miniature cessent de faire contact, avec comme
résultat que malgré le bon état du fusible on ne
mesure aucune résistance entre les extrémités du
support.
Dans quelques cas
où la poix aura été utilisée comme isolant,
cet isolant
aura fondu avec la chaleur. Dans quelques cas aussi le fabricant du
transformateur aura employé nle papier paraffiné comme
isolant entre les enroulements et, avec la chaleur, la cire aura fondu
et coulé sur le châssis ou sur
le fond du boîtier. Vous devrez alors vous résoudre
à remplacer le transformateur ou à faire rembobiner le
transfo existant. Cette dernière solution est excellente si :
- (a)
vous pouvez trouver quelqu’un pour faire le travail et
- (b) si vous
pouvez le payer.
Qu’en est-il du remplacement ? Vous pourriez en
trouver un tout neuf dans une belle boîte pour un prix quelconque
qui peut atteindre 50 £, ou vous pourriez en cannibaliser un dans
une vieille épave de récepteur que vous ne paierez que
quelques £. C’est une des raisons pour lesquelles je ne cesse
d’encourager les lecteurs de Radiophile à ne pas négliger
les vieux postes en mauvais état dans les ventes car il y a de
fortes chances qu’ils contiennent un bon transfo d’alimentation, cinq
lampes, un haut-parleur, et toutes sortes d’autres pièces
utiles. Dans la mesure où le poste de récupération
a le même type de lampes que celui à réparer, les
transformateurs devraient au moins être interchangeables. Dans
quelques cas il se peut que vous ayez à trouver un nouveau moyen
de fixer le transfo mais cela ne devrait pas être trop difficile.
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Rappel des pages du livret de Chas. E.
Miller traduites sur ce site :
- la page 1, qui est le préambule à
la série de livrets et en qui expose la philosophie
générale
- les
pages 7 et 8 qui abordent la
première étape du processus de contrôle d'un poste
à lampes : le contrôle des étages d'alimentation
- la page 34 qui correspond à un
étage-type d'alimentation dans le cas d'un secteur alternatif
seulement
- la page 35 qui correspond à un
étage-type de sortie et d'alimentation dans le cas des postes
"tous courants" (secteur alternatif ou continu)
- la page 36 qui correspond à un
étage-type de sortie dans le cas d'un secteur alternatif
seulement (et de queques récepteurs "tous corants")
- la page 37 qui correspond à un
étage-type d'amplification F.I., de C.A.G et d'amplification B.F.
- la page 38 qui correspond à un
étage-type de changement de fréquence